Avant les romains les hommes se jettent dans l’eau de mer ou des rivières
pour s’y laver ou s’y détendre. Dans l´Antiquité tardive, entre le II et le Ve siècle de notre ère, on
vient à juger les bains malsains, et cette réprobation suit l´apogée
qu´ont représentée les thermes de Caracalla qui, sous Dioclétien, étaient
ouverts jour et nuit. Cette alternance du pour et du contre ne cessera
de se reproduire jusqu’à nos jours. Le haut Moyen-Age, ascétique, méprise les corps. Le XIII siècle voit au
contraire se multiplier les établissements thermaux. La Renaissance célèbre curieusement les parures mais néglige l´hygiène,
que réhabilite la religion reformée. Sous Louis XIII, il n´existe
plus que deux établissements de bains à Paris, et c’est pour des
raisons médicales que le docteur Tronchain impose les ablutions à
l’eau froide, rejoint par Jean-Jacques Rousseau, qui veut former les caractères. De nos jours
seulement trois à quatre Européens sur dix prendraient une douche ou
un bain chaque matin. L´histoire
des parfums
A travers les époques, nous avons constaté que les
parfums étaient utilisées de manière différentes; par exemples: Les Egyptiens et au début aussi les Romains les utilisaient comme un intermédiaire
entre les Dieux et l´Homme, Catherine de Médicis sen servait pour
dissimuler des poisons, mais à la Renaissance, les parfums servaient
souvent pour cacher une mauvaise hygiène. Chaque époque avait son parfum particulière
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